Le doux mystère de la vie je l’ai trouvé.

Si nous luttons, souffrons, c’est pour arriver,

à l’idéal que chacun de nous a rêvé,

tous nos efforts n’ont qu’un seul but sur cette terre:

C’est l’amour, oui c’est l’amour que tous nous cherchons,

oui l’amour pour qui toujours nous travaillons,

l’amour qui fait que notre coeur toujours espère.

et de la vie voilà tout le mystère

Oh luttons, souffrons, vivons, peinons tous les jours,

car l’amour saura nous payer en retour.

Quand nous aurons trouvé l’amour pur et sincère,

nous oublierons pour toujours nos misères.

Dominique, Hélène,

Je ne peux être avec vous aujourd’hui que de tout coeur.

Je ne vous apprendrai rien ici, mais laissez-moi quand même vous le redire: Vous avez été des guides merveilleux, hors-pistes, poétiques, vibrants, amoureux, amoureux, oui, et de si belle façon.

Merci pour la poésie,

Merci Hélène pour ta voix troublante au service de l’infini.

Puisse-t-elle, au-delà de ta peine de maintenant, résonner encore et pour longtemps. N’aies crainte, on entendra toujours à côté d’elle l’alto inséparable, coeur battant d’acier tendre de ton homme.

Merci Dominique Tremblay,

Tu aura été mon étoile underground,

ma référence folklorique dans toute la beauté de ce mot-peuple trop souvent galvaudé.

Merci pour ta grande modestie, même si je considère que tu en as quelquefois abusé…:)

Merci pour « Ça roule« , selon moi un des meilleurs albums québécois de tous les temps, inusable, inimitable et inoxydable.

Tu vas nous manquer Dominique,

mais au fond, tu seras toujours là parmi nous, et bien longtemps après nous, chaque fois qu’il y aura de la poésie, de la musique, de la fête, de l’espoir et de l’amour!

Salut et chapeau!

Michel Faubert, conteur et…ami.